Là, c'est le moment où encore une fois je prends une leçon, où j'apprends que je ne comprends rien aux subtilités croissantes du monde moderne, que je suis vraiment hors-jeu, complètement dépassé par les méthodes de communications de notre jeunesse. Ce débat au salon anticolonial entre journalistes engagé-e-s et représentant-e-s des partis politiques devait approfondir les questions de politiques les plus confuses grâce à la technique du "speed-dating" et je ne savais même pas ce que c'était (les questions au hasard !). Honteux, j'ai préféré quitter la salle au plus vite, certainement angoissé à l'idée de me faire submerger par l'intelligence des discours. Cette campagne électorale est un moment d'effervescence cérébrale sans aucune mesure où toutes les compétences peuvent enfin s'exprimer.
lundi 27 février 2012
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Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerVraiment on pourrait qualifier le "speed-dating" plutôt de méthode d'incommunication... La jeunesse reçoit des milliers de bouts d'info éparpillés ça et là, et donc ne peut (in)communiquer que quelques bouts d'info ramassés ça et là...
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