Je suis mauvais en photo de manifs. Je n'arrive pas à y rendre l'émotion, l'énergie. Je manque de confiance et de sympathie pour les foules. Celle-ci n'est pas si nulle. La lutte pour les retraites semble envahir l'espace des préoccupations, en ce moment. On se demande de quel droit un président va contre un peuple. La manifestation contre la xénophobie d'état a peu d'échos ce jour-là, pourtant la dénonciation des relents fascistes de l'état français est importante aussi, et permet de comprendre la gravité de la crise des institutions d'une république déclinante.
samedi 16 octobre 2010
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