lundi 27 février 2012

26 février 2012, Paris, salon anticolonial, quel spectacle !

Là, c'est le moment où encore une fois je prends une leçon, où j'apprends que je ne comprends rien aux subtilités croissantes du monde moderne, que je suis vraiment hors-jeu, complètement dépassé par les méthodes de communications de notre jeunesse. Ce débat au salon anticolonial entre journalistes engagé-e-s et représentant-e-s des partis politiques devait approfondir les questions de politiques les plus confuses grâce à la technique du "speed-dating" et je ne savais même pas ce que c'était (les questions au hasard !). Honteux, j'ai préféré quitter la salle au plus vite, certainement angoissé à l'idée de me faire submerger par l'intelligence des discours. Cette campagne électorale est un moment d'effervescence cérébrale sans aucune mesure où toutes les compétences peuvent enfin s'exprimer.

2 commentaires:

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  2. Vraiment on pourrait qualifier le "speed-dating" plutôt de méthode d'incommunication... La jeunesse reçoit des milliers de bouts d'info éparpillés ça et là, et donc ne peut (in)communiquer que quelques bouts d'info ramassés ça et là...

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