Abou Diarra est un musicien malien et il joue ce samedi au festival Silhouettes, festival de courts-métrages, qui a lieu cette année au parc de la butte du chapeau rouge. C'est agréable de venir ici grâce au tramway juste à côté. Le public semble plus jeune, plus étudiant, que lors des précédentes éditions au parc des buttes Chaumont. Une nouvelle fois, c'est l'occasion de voir de très bons courts-métrage. Je retiens 'Agit Pop' de Nicolas Pariser, 'L'albatros' d'Emmanuel Bonnat, qui évoque le sujet du suicide, 'Unser Lied' de Catalina Molina, 'Il est des nôtres', de Jean-Cristophe Meurisse, se voulant philosophiquement provoquant et néanmoins burlesque, 'Artémis coeur d'artichaud' d'Hubert Viel, petit bijou de sensibilité parfaitement réalisé sous son apparence amateur, pour les sélections internationales. Le samedi a lieu une soirée hors compétition sur les thème 'première fois' avec, entre autres, 'Monsieur l'abbé' de Blandine Lenoir, le film le plus profond sur le magnifique héritage culturel catholique, ou 'Sunstroke' de Lili Horvath.
Dimanche soir, Hubert Viel reçoit le prix du festival pour 'Artémis coeur d'artichaud', ...
... et Marie-Charlotte dit au revoir. Mais que deviendra le festival sans elle ?
Dimanche soir, Hubert Viel reçoit le prix du festival pour 'Artémis coeur d'artichaud', ...
... et Marie-Charlotte dit au revoir. Mais que deviendra le festival sans elle ?
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