Au FRAP. Ce concert me restera comme un très bon souvenir. Ils et elle nous parlent de la catastrophe nucléaire au Japon et d'autres choses : poésie, lecture, cris, danse, trompette, guitare. Ça me rappelle aussi un film japonais que j'ai vu il y a quelques semaine avec des spectacles en famille. Comme si je n'avais jamais entendu quelques choses d'aussi authentique, hors du spectacle. Je ressens quelque chose de très fort du Japon que j'apprécie dans le paradoxe. Il y a Keï à la trompette, Yasha à la danse Buthô et au texte, Ucoc qui lit et slame, le fils d'Ucoc à la guitare.
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