dimanche 27 mai 2012

26 mai 2012, Paris, concert Ahmed Cissé, Auber, Concert Zao

Je retrouve Ahmed Cissé que j'aime beaucoup au Shakirail, à Marx Dormoy. Vers la fin du concert, je sens bien que l'ambiance de Ouaga arrive enfin jusqu'à nous... Après le concert, je demande à Ahmed qu'est qui fait qu'il se sent vraiment comme à Ouaga. Ahmed joue avec des musiciens pro qui s'adaptent à tout. Quand on se sent vraiment à Ouaga, c'est que les musiciens comprennent vraiment tout de suite ce qu'il veut faire, et que le public comprend aussi. Avec Ahmed et son saxophoniste, je discute un peu aussi du Mali, puis, des espoirs de temps meilleurs pour les artistes ici en France.
Je rejoins Aubercail à pied pour le dernier concert de Casimir Zao. Il y a de nouveau des burkinabés, qui viennent endiabler la scène, en particulier, Mamadou Koné.
A partir de là, la chaleur monte et je commence à me sentir à Brazzaville, ce qui fait que ce soir je suis venu à pied de Ouaga à Brazzaville. A la fin du concert, on discute un peu du Burkina, du Congo-Brazzaville, de la situation politique là-bas.

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