C'est très surréaliste, ce jour-là au 6B, parce qu'il y a 2 ambiances qui se mélangent, qui a priori n'ont rien à voir et qui pourtant vont très bien ensemble. D'un côté, il y a des maquis improvisés et on se retrouve à Ouaga, à manger des poisons grillés, des alokos, et des beignets bien huileux. De l'autre côté, il y a 3 scènes de musique électro, avec des centaines de jeunes tout sourire qui dansent et qui discutent. Au bord du canal, on peut reposer ses oreilles, en observant les rroms, comme à la télé, et eux-elles-aussi nous regardent. C'est bien sympa tout çà, çà me rappelle la Bretagne, à cause de la liberté, parce qu'il n'y a pas de surveillance. Depuis des années que je suis à Paris ou en banlieue, je n'ai jamais vu cela. On respire tout à coup.
dimanche 12 août 2012
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