Apkass donne un concert au Centre Fleury Goutte d'Or à l'occasion de la sortie du
livre-disque, "Mais il arrive que la nuit tombe à l'improviste".
Le livre nous permet de découvrir des peintures de Bruce Clarke. Il s'agit surtout du second album, le premier, "En marchant vers le soleil" datant de 2008, et il a été écrit et composé toujours avec Jr EakEe, auquel se sont joints Florent Dupuit et deux documentaristes sonores, Jérémi Nureni Banafunzi et Benoit Thuault. Le groupe s'est reformé avec d'autres musicien-ne-s en plus de Jr EakEe et Alain Kasanda (Apkass) : trompette, flûte et saxophone, percussion, guitare.
La soirée commence par du slam avec les anciens de Chant d'encre, Säb, Edgar Sekloka, Néggus - il manque Gaël Faye - et un autre slameur, Forban. Ensuite, Apkass nous promène entre Paris et Kinshasa, dans une ambiance sonore pleine de références cinématographiques. Comment faire comprendre à un public français la perception d'un habitant du Congo ou d'un migrant à Paris, sans que ce public connaisse l'histoire de ce pays lointain dont on entend surtout parler quand rien ne va ? Au travers de la poésie, c'est un première approche. Comme je suis un peu l'actualité, je sais que derrière la crise actuelle, le massacre des étudiants entre le 19 et le 23 janvier 2015, qu'évoque Alain entre deux chansons, se dessinent des perspectives positives.
C'est un premier concert après 1 an et demi de pause, avec un peu de nervosité. Comme j'avais vu beaucoup des concerts du premier album, j'attends la suite avec impatience.
Le livre nous permet de découvrir des peintures de Bruce Clarke. Il s'agit surtout du second album, le premier, "En marchant vers le soleil" datant de 2008, et il a été écrit et composé toujours avec Jr EakEe, auquel se sont joints Florent Dupuit et deux documentaristes sonores, Jérémi Nureni Banafunzi et Benoit Thuault. Le groupe s'est reformé avec d'autres musicien-ne-s en plus de Jr EakEe et Alain Kasanda (Apkass) : trompette, flûte et saxophone, percussion, guitare.
La soirée commence par du slam avec les anciens de Chant d'encre, Säb, Edgar Sekloka, Néggus - il manque Gaël Faye - et un autre slameur, Forban. Ensuite, Apkass nous promène entre Paris et Kinshasa, dans une ambiance sonore pleine de références cinématographiques. Comment faire comprendre à un public français la perception d'un habitant du Congo ou d'un migrant à Paris, sans que ce public connaisse l'histoire de ce pays lointain dont on entend surtout parler quand rien ne va ? Au travers de la poésie, c'est un première approche. Comme je suis un peu l'actualité, je sais que derrière la crise actuelle, le massacre des étudiants entre le 19 et le 23 janvier 2015, qu'évoque Alain entre deux chansons, se dessinent des perspectives positives.
C'est un premier concert après 1 an et demi de pause, avec un peu de nervosité. Comme j'avais vu beaucoup des concerts du premier album, j'attends la suite avec impatience.
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